Téhima des trois lettres mères

« Je cheminais dans un désert de certitudes, abandonnant tout espoir de me trouver, lorsque surgissant de mon incomplétude, les lettres du ciel sur la terre se sont mises à m’enchanter…  »

La danse des trois lettres mères…

Tina Bosi, créatrice de la Téhima, accompagnée de Fabien Berraïs, qui en était à ses toutes premières danses des lettres présentent les trois lettres mères : Aleph, Mem et Shin.

L’arrière pays niçois offre un décor parfait, un refuge secret qui sublime ce dialogue. Les lettres hébraïques ont par la tradition et les nombreux textes anciens leurs symbolique.

Etudier cette symbolique, croiser les sources, se faire sa propre idée de la question pour la détruire ensuite et en rechercher d’autres… Là est le jeu infini de cette danse. Se détacher pour renouveler, s’épanouir et offrir son regard particulier. Sortir du cocon familier et se mettre en route, l’esprit nomade, libre et joyeux, en perpétuel déséquilibre, donc alors… en perpétuel mouvement.